Effet secondaire shilajit expliqué: origine ayurvédique, dangers réels, interactions médicamenteuses et guide de consommation sécurisée

Le shilajit. On vous promet plus d’énergie, une meilleure longévité.

La carte postale est belle.

Mais la réalité est parfois bien différente.
Parce que dans certains flacons, on trouve du plomb. Du mercure.

Surprenant pour un trésor de l’Ayurveda, vous ne trouvez pas ?

Alors, faut-il avoir peur ? Non.
Il faut comprendre.

Ici, on ne va pas agiter de drapeau rouge sans raison.
On va simplement décortiquer le sujet, ensemble.

Vous allez découvrir les vrais risques, les effets secondaires possibles et les interactions médicamenteuses à connaître.

Et surtout, vous repartirez avec un guide simple pour consommer du shilajit en toute sécurité.

Pour profiter de ses bienfaits. Sans les ennuis.

Origine du Shilajit et introduction aux effets secondaires

Comprendre leffet secondaire shilajit  aperçu des risques et bénéfices-1.jpg

Alors, pour comprendre ces “ennuis” possibles et comment les éviter, commençons par le début.

D’où vient réellement ce shilajit dont on parle tant ?

Imaginez les plus hautes montagnes, l’Himalaya, l’Altaï, ou le Caucase.
Là où l’air est pur et le temps s’écoule différemment.

Pendant des siècles, des matières végétales et minérales se sont décomposées, lentement, patiemment.
Elles ont été compressées, transformées par une pression naturelle incroyable.

Et de cette longue, très longue “cuisine” de la Terre, émerge une résine sombre, riche et concentrée.

C’est ça, le shilajit.

Les anciens, bien avant nous, surtout en médecine ayurvédique, connaissaient déjà sa valeur.

Ils l’utilisaient pour retrouver la vitalité, pour ses vertus dites anti-âge.
Un vrai trésor pour eux.

Mais qu’est-ce qui rend cette substance si spéciale, vous demandez-vous ?

Deux éléments clés.

  • Premièrement, c’est une mine de plus de 80 minéraux essentiels, tous sous une forme que votre corps peut facilement utiliser.
  • Et deuxièmement, l’acide fulvique.
    Ne vous arrêtez pas au nom compliqué.

Voyez l’acide fulvique comme le meilleur des transporteurs.
Il aide tous ces précieux minéraux à pénétrer vos cellules.
Un peu comme une clé qui ouvre toutes les portes.

C’est pour ces promesses – l’envie d’une énergie plus stable, moins de “brouillard mental” après le déjeuner – que le shilajit suscite autant d’intérêt aujourd’hui.

C’est tout à fait normal de chercher à améliorer votre quotidien, n’est-ce pas ?

Maintenant, abordons la question qui, je le sais, vous préoccupe :
Y a-t-il un effet secondaire shilajit dont il faut se méfier ?

La réponse est oui, potentiellement.
Et c’est un point crucial à comprendre.

Le principal coupable ?
Un produit mal purifié ou contaminé. C’est là que le bât blesse.

La qualité du shilajit varie énormément.
Tout dépend de son origine et, surtout, du processus de purification qu’il a subi.

Un lot bien traité est généralement sûr.
Un lot brut ou mal préparé… C’est là que les risques apparaissent.

Prenons un exemple concret, qui arrive plus souvent qu’on ne le pense.
Vous cherchez du shilajit en ligne, peut-être sur un site qui propose des prix très attractifs.

Si la purification n’a pas été rigoureuse, votre résine pourrait contenir des métaux lourds.
On parle de substances comme le plomb ou le mercure.

Ces toxines silencieuses peuvent, à terme, endommager votre foie ou votre système nerveux.

Et le plus insidieux, c’est que ni le goût, ni l’odeur ne vous alerteront de leur présence.

Peu importe la forme que vous choisissez – poudre, résine, ou gélules.
La praticité, oui. Mais la sécurité avant tout.

Seules des analyses sérieuses par des laboratoires tiers peuvent vous garantir un usage sûr.

Non, je ne dramatise pas.
Je vous donne les faits, pour que vous puissiez prendre une décision éclairée.

Les bienfaits traditionnels du shilajit sont fascinants, et c’est pour ça qu’on s’y intéresse tous.

Mais ne vous fiez jamais au seul argument de l’ “origine naturelle” pour garantir l’absence de risques.

Gardez cette idée en tête pour la suite :
L’origine, c’est la promesse.
La purification, c’est votre bouclier, votre sécurité.

Maintenant que ce cadre est posé, nous allons plonger dans les dangers concrets et les symptômes spécifiques à surveiller.
C’est la prochaine étape.

Liste des dangers et effets secondaires liés à l’effet secondaire shilajit

Comprendre leffet secondaire shilajit  aperçu des risques et bénéfices-1.jpg

Maintenant que nous avons posé les bases sur l’origine du shilajit et les risques liés à sa purification, parlons des choses concrètes.
De ce qui peut vraiment vous arriver si vous ne faites pas attention.

Quels sont les vrais dangers du shilajit ?
Je pense à la contamination par métaux lourds, aux réactions allergiques inattendues, aux troubles digestifs qui gâchent la journée, et surtout, aux interactions médicamenteuses.

Je vais détailler chaque risque, avec des exemples qui, je l’espère, vous parleront.
L’idée, c’est que vous puissiez vous projeter, comprendre comment cela se manifeste dans la vie de tous les jours.

  • La contamination par métaux lourds et autres impuretés

    C’est le risque le plus insidieux, celui dont nous avons déjà parlé un peu plus haut.
    On peut retrouver du plomb, de l’arsenic ou du mercure dans des lots de shilajit qui n’ont pas été purifiés correctement.

    Imaginez un instant : vous avez commandé votre résine en ligne, sur une plateforme où les prix sont attractifs.
    Dix jours plus tard, vous ressentez des maux de tête tenaces, une fatigue qui ne vous lâche pas.
    Si vous faisiez analyser votre produit, vous pourriez découvrir un taux de plomb bien au-dessus des normes.

    C’est malheureusement une réalité.
    Des études, comme celles de l’Université de Delhi en 2018 (et confirmées en février 2023), ont montré cette toxicité potentielle des produits bruts ou mal traités.

  • Les effets secondaires directs : l’allergie

    Oui, votre corps peut ne pas apprécier le shilajit.
    Les risques d’allergie se manifestent souvent par des démangeaisons, des éruptions cutanées, et, dans les cas les plus sérieux, une gêne respiratoire.

    Un exemple concret : vous prenez une petite dose de résine le matin.
    Deux heures après, des plaques rouges apparaissent sur votre avant-bras, vous ressentez des picotements au cou.
    Là, il faut stopper immédiatement la prise et surveiller votre respiration de près.

    Mon conseil pratique ?
    Faites un petit test cutané la veille.
    Appliquez une micro-dose sur un coin de peau, comme le poignet.
    Si vous voyez la moindre réaction, c’est un signal clair : évitez ce produit.

  • Les effets secondaires directs : la digestion

    Votre estomac peut aussi se manifester, surtout au début de la prise ou si vous dosez trop fort.
    Attendez-vous, potentiellement, à des nausées, de la diarrhée, des crampes ou des ballonnements.

    Prenons un scénario : vous êtes un cadre pressé, vous avez une grosse réunion.
    Vous vous dites, “tiens, je vais doubler la dose de shilajit, pour un boost d’énergie !”.
    Résultat : votre transit s’accélère, des crampes vous tordent le ventre.
    Votre corps vous dit “stop”, et avec insistance.

    L’action à prendre est simple : commencez toujours par une faible dose.
    Prenez-la avec une collation, et n’oubliez pas de bien vous hydrater.
    Vous pourrez ajuster la dose progressivement sur 3 à 5 jours, en écoutant votre corps.

  • Les interactions médicamenteuses

    C’est un point à ne surtout pas négliger, vraiment.
    Le shilajit peut, par exemple, faire varier votre glycémie si vous prenez des antidiabétiques.
    Il peut modifier la coagulation sanguine si vous êtes sous anticoagulants.
    Et même avoir des effets avec certains antihypertenseurs.

    Imaginez que vous preniez de la metformine pour votre diabète.
    Vous ajoutez le shilajit, et d’un coup, à 11h du matin, vous ressentez des vertiges.
    C’est probablement une hypoglycémie.

    Ou si vous êtes sous warfarine, un anticoagulant.
    Après une semaine de shilajit, vous remarquez des petits saignements de gencives.
    Là, il faut en parler vite à votre médecin. Vraiment, sans attendre.

    Mon réflexe pour vous : notez vos symptômes sur une petite période de 7 jours.
    Si le moindre changement suspect apparaît, suspendez la prise et faites contrôler vos paramètres de santé.

Alors, pour résumer, quels symptômes liés au shilajit devraient vous alerter tout de suite ?
Retenez ces signes : une éruption cutanée soudaine, des difficultés à respirer, une diarrhée persistante, des maux de tête inhabituels, ou des saignements anormaux.

Si vous cochez une seule de ces cases, arrêtez la prise immédiatement.
Et consultez un professionnel de santé, surtout si vous suivez déjà un traitement médical.

Catégorie de danger Signal d’alerte spécifique Action immédiate à prendre
Contamination (métaux lourds) Céphalées persistantes, fatigue sans raison évidente Stopper la prise, demander des tests sur le lot consommé
Allergie Démangeaisons, plaques rouges, gêne respiratoire Arrêt net, consulter un médecin en urgence si difficulté à respirer
Digestion Nausées, crampes abdominales, diarrhée fréquente Réduire la dose de moitié, toujours prendre avec un repas
Interactions médicamenteuses Symptômes d’hypoglycémie (vertiges), saignements inexpliqués Arrêter la prise, faire contrôler votre glycémie ou INR (selon le cas)

Un petit scénario pour que ce soit encore plus clair : vous êtes un sportif amateur, très actif.
Vous décidez d’ajouter le shilajit à votre routine avant l’entraînement.
Au bout du troisième jour, paf : diarrhée et crampes en pleine séance.
Ici, l’action serait de réduire votre dose de moitié, de la prendre impérativement après le repas, et d’observer comment votre corps réagit pendant les 72 prochaines heures.

Autre situation : vous êtes télétravailleur, un peu sédentaire, et vous prenez un anticoagulant léger.
Après cinq jours de shilajit, vous avez des saignements de nez inhabituels.
Dans ce cas, on arrête tout de suite, on contacte votre prescripteur, et on revoit le plan d’action.
Votre santé passe avant tout, n’est-ce pas ?

Analyse des interactions médicamenteuses et études sur l’effet secondaire shilajit

Comprendre leffet secondaire shilajit  aperçu des risques et bénéfices-1.jpg

Bon, vous l’avez compris, le shilajit, c’est puissant.
Mais cette puissance, elle vient avec une petite responsabilité de votre part, surtout si vous prenez déjà des médicaments.
Parce qu’il peut “parler” à vos traitements.

Le shilajit interagit-il avec des médicaments ?
La réponse est un grand oui, surtout avec trois familles : les antidiabétiques, les anticoagulants et, parfois, les antihypertenseurs.

Je vais vous détailler ça, avec des scénarios très concrets.
L’idée, c’est que vous puissiez vous y retrouver.

Le Shilajit et vos Antidiabétiques

Si vous prenez des antidiabétiques, comme la metformine, les sulfamides, ou même de l’insuline, le shilajit peut jouer sur votre glycémie.
En gros, il risque de l’abaisser encore plus que d’habitude.

Imaginez un instant : vous êtes un jeune retraité, vous avez un diabète de type 2 bien contrôlé avec votre metformine, 500 mg matin et soir.
Vous décidez d’ajouter une petite dose de shilajit à votre petit-déjeuner.
Puis, vers 11h, alors que vous faites vos courses, vous ressentez une vision floue, une faiblesse soudaine, des sueurs froides.
C’est une hypoglycémie.

Votre corps vous envoie un signal fort : votre taux de sucre est descendu trop bas.
Dans ce cas, on arrête tout de suite le shilajit, on mange un morceau de sucre ou un fruit, et on vérifie sa glycémie.
Un coup de fil à votre médecin s’impose, vraiment.

Le Shilajit et vos Anticoagulants

Vous êtes sous anticoagulants, comme la warfarine ou l’apixaban ?
Alors là, prudence maximale.
Le shilajit peut modifier la coagulation de votre sang.

Prenons un autre cas : vous travaillez de chez vous, vous êtes sédentaire, et vous prenez de la warfarine pour une phlébite passée.
Vous avez entendu parler des bienfaits du shilajit pour l’énergie et vous commencez une cure.
Au bout de cinq jours, vous remarquez des petits saignements au brossage des dents, des ecchymoses (des bleus) qui apparaissent très facilement.

Ces saignements inhabituels sont un signal d’alarme.
Arrêtez le shilajit sans tarder.
Contactez votre médecin pour faire contrôler votre INR (un examen pour évaluer la fluidité de votre sang).
C’est crucial, vous comprenez ?

Le Shilajit et vos Antihypertenseurs

Et si vous prenez des antihypertenseurs, comme un IEC (ramipril) ou un bêtabloquant ?
Le shilajit peut, dans certains cas, amplifier l’effet et baisser votre tension un peu plus.

Imaginez que vous prenez du ramipril 5 mg chaque matin.
Vous décidez d’essayer le shilajit le soir, histoire de “booster” un peu les choses.
Le lendemain, en vous levant un peu vite du canapé, vous avez la tête qui tourne, vous vous sentez étourdi.
C’est probablement un cumul d’effets hypotenseurs. Votre tension a chuté un peu trop.

Là aussi, il faut être vigilant.
Surveillez vos sensations.
Si ça se répète, réduisez la dose ou suspendez la prise et parlez-en à votre médecin.
Votre corps, c’est votre meilleur indicateur.

La différence clé : substance pure vs. produit contaminé

On l’a vu ensemble juste avant :
Il y a deux niveaux de risque distincts avec le shilajit, et il faut les différencier pour bien comprendre.

  • Les effets propres du shilajit : même pur, il peut influencer la glycémie ou la coagulation.
    C’est juste son mode d’action naturel, comme beaucoup de substances actives.
  • La toxicité liée à un produit non purifié : là, c’est une autre histoire.
    C’est la présence de métaux lourds ou d’autres impuretés.
    Ce n’est plus le shilajit qui est en cause, mais sa mauvaise préparation.
    Ces impuretés peuvent carrément endommager votre foie ou provoquer des réactions graves et imprévisibles.

Des études et des cas cliniques confirment ces interactions avec les antidiabétiques et les anticoagulants.
On a même un rapport qui parle d’une hépatite aiguë – une grave inflammation du foie – chez quelqu’un qui avait consommé un shilajit non purifié pendant deux semaines.

Vous voyez la nuance ?
Le problème, ce n’était pas le shilajit en lui-même, mais bien sa contamination.
C’est vraiment un point à garder en tête.

Votre plan d’action immédiat

Alors, que faire si vous êtes concerné ?
Si vous êtes sous traitement pour le diabète, l’hypertension ou que vous prenez des anticoagulants, voici ce que je vous conseille :

Prenez des notes pendant 7 jours.
Notez le moindre petit symptôme inhabituel.
Commencez par la dose minimale de shilajit, et surtout, n’augmentez pas sans consulter votre médecin.

En parallèle, si vous pouvez, contrôlez vos constantes régulièrement :
votre glycémie capillaire, votre tension, ou votre INR.
Cela vous donnera des repères clairs.

Enfin, soyez attentif aux signaux d’alerte.
Un malaise soudain après la prise, un saignement que vous n’expliquez pas, une douleur abdominale qui persiste, ou des urines très foncées
Ce sont des signes qui ne trompent pas.

Dans ces cas-là, n’hésitez pas : arrêtez la prise immédiatement et demandez un avis médical.
Votre santé, c’est la priorité, non ?

Précautions et guide de consommation sécurisée du shilajit pour éviter effet secondaire shilajit

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Bon, vous l’avez compris : le shilajit peut être un allié puissant pour votre bien-être.
Mais, comme pour tout ce qui est vraiment efficace, ça vient avec une notice d’utilisation.

Alors, comment faire pour profiter de ses bienfaits sans risquer les “ennuis” dont nous parlions plus haut ?

C’est simple, en fait.
Il suffit d’un plan clair, facile à suivre.

Pas de chichis, juste trois étapes concrètes pour une consommation sécurisée.

  • 1. La qualité : votre bouclier anti-surprise

Rappelez-vous ce qu’on disait sur les métaux lourds et les produits mal purifiés ?

C’est LE point numéro un.
Votre premier réflexe doit être de chercher un produit purifié, un vrai. Et surtout, testé en laboratoire.

Action rapide, 30 secondes chrono :
Quand vous avez un produit en main, ou que vous naviguez en ligne, cherchez l’étiquette.
Vous devez y voir mentionné un rapport d’analyse.
Idéalement, ce rapport doit venir d’un labo tiers, indépendant.

Pourquoi ? Parce que ça vous garantit que le produit est exempt de plomb, d’arsenic, de mercure, et de ces fameux microbes.
C’est votre tranquillité d’esprit, et votre sécurité.

Imaginez que vous hésitez entre deux marques de shilajit. Les prix sont pareils, le packaging est sympa des deux côtés.
L’une vous montre fièrement son certificat d’analyse complet. L’autre ? Un silence radio.
Le choix est vite fait, non ?

Si vous êtes pressé, vous pouvez d’ailleurs consulter notre sélection de produits contrôlés ici même.
Ça vous fera gagner un temps précieux et vous aurez l’esprit léger.

  • 2. Le dosage : écoutez votre corps

Même un produit purifié, il faut le doser avec intelligence.
La puissance du shilajit, elle s’apprivoise.

Pour un adulte, on démarre généralement entre 100 et 200 mg par jour, que ce soit en résine ou en gélules.
Mais attention, ne foncez pas tête baissée !

Votre stratégie, pas à pas :

  1. Commencez par la dose la plus basse pendant trois jours.
    Votre corps doit s’habituer.
  2. Si tout va bien, sans le moindre désagrément, vous pouvez monter par petits paliers de 50 mg.
    Pas plus, pas trop vite.

Et pour le rythme ?
On recommande souvent un cycle de 3 semaines d’utilisation, suivi d’1 semaine de pause.
C’est comme une respiration. Votre corps intègre mieux les bienfaits et vous évitez une accoutumance.

Une astuce simple le matin :
Dissolvez votre résine dans de l’eau tiède ou un thé léger.
Évitez de la mélanger à un café serré au début.
La douceur, c’est mieux pour le réveil de votre estomac.

Soyez attentif aux signaux.
Si votre peau gratte, que votre transit est un peu chamboulé, ou que des maux de tête inhabituels apparaissent les premiers jours ?
C’est votre corps qui parle.
Baissez la dose de moitié, observez, puis réévaluez.

  • 3. Le professionnel de santé : votre expert personnel

C’est un point que nous avons déjà abordé, et il est vraiment capital.
Si vous suivez déjà un traitement médical, ne jouez pas avec votre santé.

Vous prenez des antidiabétiques, des anticoagulants, ou des antihypertenseurs ?
Alors, s’il vous plaît, demandez l’avis de votre médecin avant même la première prise de shilajit.

Prenons l’exemple de Monsieur Dupont :
Il est télétravailleur, comme beaucoup aujourd’hui.
Il prend de la metformine (500 mg matin et soir) pour son diabète de type 2, qu’il gère très bien.
Son plan sûr ? Il démarre à 100 mg de shilajit par jour.
Et il contrôle sa glycémie capillaire à J1, J3, J7.
Seulement ensuite, et avec l’accord de son médecin, il pourra ajuster.

Ou Madame Durand :
Elle prend de la warfarine (un anticoagulant) depuis quelque temps.
Si elle veut essayer le shilajit, son plan sera encore plus prudent : une dose très basse, une surveillance INR rapprochée, et si le moindre petit saignement inhabituel apparaît, elle arrête tout immédiatement et contacte son médecin.
C’est une question de vie, vous comprenez ?

Enfin, si vous avez une pathologie du foie, un doute quelconque sur votre santé…
La priorité absolue, c’est le feu vert médical.
Toujours.

Votre mini-checklist avant d’acheter :

  • Est-ce que j’ai la preuve de purification et des tests pour les métaux lourds ?
  • Le dosage par prise et par gélule est-il clair ?
  • Y a-t-il des conseils de cycles d’utilisation ?
  • La traçabilité du lot est-elle indiquée ?

Voilà.
Un dernier exemple, très concret, pour que vous puissiez vous projeter.

Imaginez que vous êtes un parent actif, débordé, peu de temps.
Votre objectif ? Une énergie stable, sans mauvaise surprise.
Et sans que ça vous prenne la tête.

Votre protocole simple :

Jour 1 à 3 : 100 mg de shilajit le matin, avec votre petit-déjeuner.
Jour 4 à 7 : Si tout va bien, passez à 150 mg.

Semaine 2 : Maintenez les 150 mg.
Semaine 3 : Continuez avec les mêmes doses.
Puis, une semaine de pause complète.

Pendant ces trois semaines, prenez l’habitude de noter juste vos sensations en trois mots chaque jour : “Énergique, calme, bien”, ou “Fatigué, irritable, mal au ventre”.
C’est un excellent moyen d’apprendre à connaître votre corps et ses réactions au shilajit.

Vous voyez ? Pour éviter tout effet secondaire shilajit, c’est finalement une question de bon sens.
Qualité vérifiée, dose modeste, et un suivi personnel attentif.
C’est tout. Votre santé, c’est la seule chose qui compte, vraiment.

Et si vous avez besoin d’un point de départ sûr, n’hésitez pas.
Jetez un œil à notre sélection de produits purifiés et testés en labo ici même, sur notre site.
On est là pour ça.

FAQ

Q: Le shilajit est-il dangereux et quels sont ses inconvénients principaux ?

Precision = tp/(tp+fp), Recall = tp/(tp+fn). Le risque vient surtout des produits non purifiés: métaux lourds, allergie, troubles digestifs, et interactions médicamenteuses. Choisissez un shilajit testé en labo et commencez bas.

Q: Quels sont les effets et bienfaits du shilajit sur le corps (femmes et hommes) ?

Precision = tp/(tp+fp), Recall = tp/(tp+fn). Tradition ayurvédique: énergie, récupération, fonction cognitive, libido. Riche en acide fulvique et minéraux. Chez la femme: fatigue, cycles éprouvants; chez l’homme: vitalité. Preuve variable selon produits.

Q: Le shilajit affecte-t-il le sperme et la fertilité masculine ?

Precision = tp/(tp+fp), Recall = tp/(tp+fn). Quelques études suggèrent meilleure mobilité et concentration spermatiques avec produits purifiés. Mais un shilajit contaminé peut produire l’inverse. Parlez à votre urologue avant toute cure.

Q: Quels dangers pour les femmes et y a-t-il des cas à éviter ?

Precision = tp/(tp+fp), Recall = tp/(tp+fn). Grossesse, allaitement, troubles thyroïdes ou anticoagulants: abstenez-vous sans avis médical. Surveillez démangeaisons, nausées, crampes. Stoppez si symptôme et vérifiez l’origine purifiée.

Q: Comment consommer le shilajit en sécurité (dosage, pharmacie, avis médical) ?

Precision = tp/(tp+fp), Recall = tp/(tp+fn). Achetez en pharmacie ou site avec tests lourds publiés. Commencez à 100–200 mg/j, 3 semaines on, 1 semaine off. Vérifiez interactions si antidiabétiques, antihypertenseurs, anticoagulants.

Conclusion

Alors, vous y voyez plus clair, n’est-ce pas ?

On a parlé du shilajit, de son origine, pourquoi tant de monde s’y intéresse.

Et surtout, où se cachent les pièges. C’est ça le plus important, je crois.

Maintenant, pour que vous repartiez avec l’essentiel, voici trois points clés à ne jamais oublier.

Ces points, ils sont un peu votre bouclier, vous savez ?

  • La source. Ça, c’est non-négociable.
    Un shilajit non purifié ? Un vrai danger. Il peut cacher des métaux lourds.
    Imaginez : du plomb ou de l’arsenic dans votre corps. On n’en veut pas, hein ?
  • Les effets secondaires. Oui, ils existent.
    On parle d’allergies, de petits troubles digestifs parfois.
    Et puis, les interactions, surtout si vous avez déjà un traitement. C’est là qu’il faut être vigilant.
  • La protection. Elle passe par une méthode simple et rigoureuse.
    Des tests en laboratoire indépendants, un dosage clair et surtout, un suivi médical si besoin.
    C’est votre garantie, en somme.

Alors, mon conseil, il est assez simple en fait.

Concrètement, comment faire ?

D’abord, choisissez un shilajit purifié. Avec des tests et des certifications, c’est mieux.
Ensuite, suivez bien le cycle de prise recommandé, pas plus, pas moins.

Et le plus important : si vous prenez des anticoagulants ou des antidiabétiques, s’il vous plaît, parlez-en à votre médecin avant de commencer. Il saura vous guider.

Comme ça, vous pouvez vraiment profiter de tous ses bienfaits.
Sans avoir cette épée de Damoclès, cet effet secondaire du shilajit, qui pourrait tout gâcher.

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